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L'Age d'or de l'Humanité

Publié le par Jean Canal presse

La date calendaire d'une période féconde de l'humanité, ayant baigné dans l'ivresse que la paix prodigue à ceux qui en expriment le souhait, en de frêles moments toujours éphémères, connut pourtant son apogée, il y a de cela 10 500 ans, au sein de civilisations disparues, selon des approximations toutes relatives ! Cette période oscille dans le temps durant lequel, elle fut circonscrite au cœur d'un univers ouvert aux voyageurs bâtisseurs de stèles mémorables qui ont préservé entièrement leur énigme ! Hérodote dans ses écrits sur l’Égypte, vers 450 avant Jésus-Christ, relate les mœurs, us et coutumes d'une de ces civilisations emblématiques inscrites dans l'évolution du genre humaine  ; soit longtemps après l’avènement de la dynastie des pharaons, daté à 3000 ans avant Jésus-Christ. Son témoignage ponctué d'incertitudes est pourtant demeuré une référence dans l'histoire égyptologique et les historiens s'y ressourcèrent avidement ; ne fût-ce que pour corriger des erreurs d'interprétation. 

La polémique qui est continuellement entretenue sur la construction des pyramides et ses fonctions originelles, dispute en fait sa paternité dont les émules seront de plus en plus confrontés à une certaine réalité qui apparaît évidente depuis les études effectuées par d'autres exégètes ayant eu le soucis de mettre à jour les versions plus anciennes qui divergent sur ce qui reste aujourd'hui toujours une énigme. Quelle que soit la vision que l'on ait sur ces monuments et d'autres autant anciens, que l'on appartienne à une corporation conventionnelle, comme l'enseignement supérieur de l'égyptologie, ou/et des sectes ésotériques reconnaissant en cette civilisation une des origines planétaires, les égyptiens de la période évoquée en préambule de cet exposé, surent intentionnellement préserver leur secret, tout en donnant des indices sur les signes apparaissant au cours de ces dix mille ans ! La science est acculée à sa propre incapacité de se projeter hors du champ de vision que présente l'histoire.

L'humanité a donc connu une aire de paix que toutes les civilisations survenues ensuite ne rencontrèrent plus jamais, et cela jusqu'à nos jours ! Au regard que l'on se doit de porter sur l'histoire universelle afin de pouvoir discerner la réalité de la fiction, au demeurant essayer de comprendre les raisons pour lesquelles, l'homme n'a eu cesse de se détruire au cours de sa propre histoire, il est de bon ton de refuser toutes les thèses qui tendent à justifier le comportement humain, imputé aux pouvoirs que les religions ont exercés durant des siècles, en déléguant à l'humain la domination terrestre ! Derrière la croyance se cache une hégémonie de puissances qui s'inscrit dans l’eschatologie, de sorte à n'avoir cure de la fin de l'humanité, quelle soit en effet programmée par le chamboulement climatique, en ce début du XXI° siècle, ou bien annoncée par sa propre histoire, il y a de cela 10 500 ans ; de laquelle nous n'avons retiré aucun enseignement de prudence à notre encontre. L'évolution s'est faite à contre courant de nos origines. La sagesse s'est perdue dans l'humanité.

Prétendre détenir la Vérité de la naissance de l'humanité revient à remettre en cause son origine qui ne repose plus sur le darwinisme encensé par les progressistes de la modernité matérialiste dont l'intérêt fut l'exploitation de l'homme par l'homme; mais sur cette infime part qui subsiste chez d'aucuns empreints encore de spiritualité dont ils retirent une force épurée de toute dualité rationnelle. Notre origine s'inscrit dans l'univers comme il est de plus en plus évident, maintenant.

 

Existe donc un Principe créateur d'une harmonie dans l'univers auquel l'inconscient renvoie systématiquement, lorsque l'intelligence l'invite à réfléchir par rapport à une appréhension toute relative qui se pose en questionnement devant l'indicible, confronté aux phénomènes rationnels inexpliqués. Il suffit d'abord de lever les yeux au ciel pour comprendre que la complexité visible dépasse tout simplement l'entendement humain, infiniment insignifiant devant l'immensité qu'incarnent ces myriades d'étoiles dont les astres inspirent réflexion ! La beauté de la nature en est déjà un des principes placé sous l'influence des constellations souveraines dans l'espace, en signe de modèles parfaits. Tout est Un et multiple de son Premier. L'équilibre des éléments régule la plénitude de cette harmonie qui amena, durant une période circonscrite dans la vie terrestre, des peuples à connaître la paix universelle, souveraine d'un savoir et d'une connaissance incommensurables : paix aujourd'hui perdue !

La perfection fut bel et bien de ce monde, contrairement à une idée qui tend à l'attribuer à la force divine officielle, seule : un monde qui ne recouvre plus ses indices originels par lesquels il s'éleva au degré de la beauté suprême. Tout est proportionné au rapport d'une géométrie convergeant entre le nombre d'or, la lettre PI et la synthèse de la métrique qui en est faite, par laquelle on élabore l'étude numérique dans l'espace temps, jusqu'à atteindre la vitesse de la lumière, comme ce fut le cas, il y a 10 500 ans... Le nombre d'or en est l'excellence virtuosité par qui toute résolution est possible et moyennant lequel le monde s'élabore selon le mouvement des constellations. Advient alors la perfection et la beauté et de là, la paix. Une vertu en soi adressée à ceux qui, rarement, en ont maîtrisé l'absolu. Elle n'a jamais appartenu aux hommes, mais leur a été concédée en conformité au respect de son utilisation qui donna, entre autres des monuments emblématiques sacrés, la construction des Pyramides pour signifier ce savoir  !

L'humanité actuelle se situe dans une période de troubles qui occultent les valeurs essentielles substituées pour des intérêts personnels. La cupidité ne se peut concevoir dans cet univers.

Ils sont nombreux ceux qui s'inscrivent dans cette interprétation de l'humanité que j'ai osé faire en ce début de 2020. Il fallait oser parler et écrire sur ce sujet qui froisse les personnalités les plus averties. Est-ce de la pure fiction ?! Nul ne sait !

S'il faut croire certains exégètes versés dans la recherche indépendante des institutions consacrés à l'égyptologie, penseurs émérites de la société silencieuse, 2025 sera la date ultime du non retour pour sauver ce qui peut encore l'être ! Il n'y aura pas de fin du monde invoquée par Saint-Jean sur l'île de Patmos, dans son apocalypse religieuse. C'est par contre le climat qui provoquera des fractures sociales en endommageant les structures terrestres. Un bilan humain proche du désastre qui nous est démontré, d'ores et déjà, chaque année un peu plus, jusqu'à la date inscrite ci-dessus. Cette situation critique de l'état actuel des civilisations ne semble toujours pas inquiéter sérieusement les dirigeants de ce monde, de fait à ne pas prendre des mesures radicales pour pallier au phénomène de déstabilisation climatique. D'ailleurs, il eût été vain de se persuader de pouvoir changer ce processus d'irréversibilité  du temps qui est inscrit dans un programme d'évolution de notre planète, elle-même sujette à un principe scientifique naturel ! L'harmonie de toute chose ayant été choisie comme dilemme de la vie sur terre, par une synergie propre à l'être humain, ce dernier aura mis fin à ses jours, gommant du monde quinze mille ans de son histoire...

La constellation d'Orion dont les origines terrestres sont donc avérées, n'aura, cette fois-ci, aucune incidence sur notre destiné -car nous nous sommes livrés à nous-mêmes ! Pas encore tout à fait rendu à l'évidence de ce désastre, la nature humaine assiste néanmoins à des catastrophes contre lesquelles, l'impuissance démontre la valeur de son activité.

Il serait prétentieux de prédire l'avenir et de certifier notre passé, sous couvert qu'une illumination soudaine nous apparaisse plausible dans 'l'élaboration' de notre planète. Une certitude cependant, personne ne peut répondre de façon concrète sur certains phénomènes rationnels, comme précisément la construction des pyramides dont il n'existe aucun document fiable pour attester de sa mise en œuvre : les hypothèses demeurent des hypothèses...

Heureux seront qui assisteront au dernier souffle de l'humanité, dont l'horloge aura stoppé ses aiguilles à l'âge de 2 500 après Jésus-Christ. Ils en verront le nouveau visage épuré, chassé de toutes les discordances que les hommes auront semé à des fins funestes. La paix universelle sera enfin rétablie.

Jean Canal. 1er jour de l'an 2020. Essaie sur l'interprétation des signes. Intentionnellement, aucun auteur lu n'a été cité, afin de ne pas influencer le lecteur. Il lui appartient d'en tirer seul une conclusion qu'elle repose sur un scepticisme familier ou une hypothèse plausible de ce qui préoccupe encore aujourd'hui les plus aventureux curieux, s'adonnant à des enquêtes sans aboutissement concret. Personnellement, j'ai toujours refusé d'aller en Égypte et de visiter les Pyramides ; car seule l'imagination qui demeure intemporelle...peut me rapprocher de la Vérité !  Édifiant n'est-ce-pas ?

Très bonne année 2020       Bonne chance pour l'avenir.

 

 

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